mardi 24 janvier 2017

Rudi Popp

Dans l’évangile selon Matthieu (25,34-40) Jésus place l’étranger sur le même rang que celui qui a faim ou soif. Il raconte une parabole dans lequel un roi parle au justes : "Venez, vous qui êtes bénis de mon Père; héritez le royaume qui a été préparé pour vous depuis la fondation du monde. Car j’ai eu faim et vous m’avez donné à manger; j’ai eu soif et vous m’avez donné à boire; j’étais étranger et vous m’avez recueilli; j’étais nu et vous m’avez vêtu; j’étais malade et vous m’avez visité; j’étais en prison et vous êtes venus me voir.» Alors les justes lui répondront: «Seigneur, quand t’avons-nous vu avoir faim, et t’avons-nous donné à manger? — ou avoir soif, et t’avons-nous donné à boire? Quand t’avons-nous vu étranger, et t’avons-nous recueilli? — ou nu, et t’avons-nous vêtu? Quand t’avons-nous vu malade, ou en prison, et sommes-nous venus te voir?» Et le roi leur répondra: «Amen, je vous le dis, dans la mesure où vous avez fait cela pour l’un de ces plus petits, l’un de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait."
Oui, accueillir l’étranger est aussi urgent pour celui écoute le Christ que de donner à manger et à boire.